La solitude

La nuit est si belle
Quand elle enveloppe le monde de ses ténébres meurtriéres
La lune est si cruelle
Quand elle se moque des cicatrices sur lesquelles elle étale se lumiére
Lumiére artificielle
Qu'elle vole à l'astre sacré
Qui se cache par amour pour elle
Pour laissé éclater la beauté de sa bien-ée
La plus douloureuse des souffrances
Car en plus de détruire, elle céer une dépendance
Dont l'âme esseulé ne peut guérir
Car la compagnie de l'humain
Tôt ou tard finit par le meurtrir
Et ça recommence chaque matin
Avec le jour se léve un espoir
Qui se décompose au fil des heures
Pour se transformé quand vient le soir
En de trop profondes douleurs
C'est alors qu'au sein du coeur solitaire
Se joue les plus atroces guerres
Opposant l'ombre à la lumiére
Le déséspoir et l'ennui croisant ainsi le fer
Toutes les nuits depuis des millénaires
Dans le coeur écorché du solitaire
Et personne n'entend ces batailles sanglantes
Ils se racrochent a l'aparences, si rassurante
Pour ne pas voir que partout elle s'insinue
Dans le coeur de cette enfant perdue
Déchirée entre ses deux parents
Dans l'esprit de cet homme bien-pensant
Et dans l'âme des filles de la rue
Quand les larmes ont trop coulées
Et que personne n'est venu les séchées
Il ne reste que la splendeur de la nuit
Où se réfugier
Pour sombrer dans une douce folie
Seul, pour ne pas les dérangés.[/u]

Tu as une très belle plume, j'aime beaucoup tes poèmes.

merci beaucoup, ça me touche vraiment que quelqu'un aprécie ce que je fais
joyeux noel à toi

Désolé, de ne pas avoir lu le message avant, merci beaucoup !
Je te souhaite une très bonne année et un très bon Reveillon !

Ils sont triste tes poèmes... beaux mais triste!

je sais bien mais je n'arrive à écrire que quand ça va pas, mais je vais essayer d'être un peu plus joyeuse, promis !

princesseperdue a écrit:Quand les larmes ont trop coulées
Et que personne n'est venu les séchées
Il ne reste que la splendeur de la nuit
Où se réfugier
Pour sombrer dans une douce folie
Seul, pour ne pas les dérangés.[/u]

Tes poèmes me touchent à chaque fois plus, car à chaque fois, je reconnais une facon de penser, de voir le monde proche de la mienne. Facon de vivre et de conceptualiser que mes plus proches amis me reprochent...