poémes écrits un soir de déprime
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poémes écrits un soir de déprime
Amour malsain
Je me nois dans les ténébres infernales
Il est trop tard l'issue sera fatale
Tu ne peux pas t'empêché de me faire du mal
Alors je vais mourir, lentement et sans scandale
Me changée en petite particule
Et disparaitre dans l'infini minuscule
M'évaporée dans ton néant intérieur
Je deviendrait ton sang pour faire battre ton coeur
Je serai le fantôme qui se glisse dans tes draps
Je serais ce dieu auquel tu ne crois pas
Je serait le farfadet qui se joue de tes rêves
Je t'aimerais jusqu'à ce que tu en créve
Tu sera victime de mon esprit vengeur
Je serais le poison qui t'accableras de douleurs
Je te persécuterais jusque dans ton tombeau
Je veillerais à ce que ton âme jamais ne trouve le repos
Parce que l'amour n'est que haine
Et que par dessus tout je t'aime...
voici la Mort
Comme c'est calme la nuit
J'aime me perdre dans ce silence infini
La lune, protectrice, veille
Mais ce soir je n'ai pas sommeil.
J'ai attendu, encore et toujours
Mais tu m'as oubliée, triste Amour
Mais cela n'a plus aucune importance
Puisque avant le jour j'aurais trouver la délivrance
Comme tant des fois je vais sombrer dans la déprime
Mais cette fois tu ne viendra pas me sortir de l'abîme
Je me croyais si forte, invincible
Mais devant toi je me trouve vulnérable et fragile
Je m'était construit une forteresse
Pour me protégée des gens et du reste
Je ne tolérait plus aucune faiblesse
Mais tu as tout détruit avec ta tendresse
Et j'au cru à tes promesses
J'ai succombée à l'ivresse
Mais il n'est plus temps des remords
Voici la Mort...
Je tombe
Je resterais allongée dans le noir
Essayant de comprendre d'où me viens ce déséspoir
Cette envie oppressante d'en finir
Ce besoin incessant de me détruir
Je regarderais s'écouler mon sang
Lentement, comme si la Mort prenais son temps
Ailleur ne peut être pire
Alors enfin je vais partir !
Prisonniére de mon silence, de votre incompréhension
J'ai trop longtemps hérrée dans ce monde
Je te jure j'ai essayé, je te demende pardon
Mais à chaque fois que tu me reléve, je tombe...
Je me nois dans les ténébres infernales
Il est trop tard l'issue sera fatale
Tu ne peux pas t'empêché de me faire du mal
Alors je vais mourir, lentement et sans scandale
Me changée en petite particule
Et disparaitre dans l'infini minuscule
M'évaporée dans ton néant intérieur
Je deviendrait ton sang pour faire battre ton coeur
Je serai le fantôme qui se glisse dans tes draps
Je serais ce dieu auquel tu ne crois pas
Je serait le farfadet qui se joue de tes rêves
Je t'aimerais jusqu'à ce que tu en créve
Tu sera victime de mon esprit vengeur
Je serais le poison qui t'accableras de douleurs
Je te persécuterais jusque dans ton tombeau
Je veillerais à ce que ton âme jamais ne trouve le repos
Parce que l'amour n'est que haine
Et que par dessus tout je t'aime...
voici la Mort
Comme c'est calme la nuit
J'aime me perdre dans ce silence infini
La lune, protectrice, veille
Mais ce soir je n'ai pas sommeil.
J'ai attendu, encore et toujours
Mais tu m'as oubliée, triste Amour
Mais cela n'a plus aucune importance
Puisque avant le jour j'aurais trouver la délivrance
Comme tant des fois je vais sombrer dans la déprime
Mais cette fois tu ne viendra pas me sortir de l'abîme
Je me croyais si forte, invincible
Mais devant toi je me trouve vulnérable et fragile
Je m'était construit une forteresse
Pour me protégée des gens et du reste
Je ne tolérait plus aucune faiblesse
Mais tu as tout détruit avec ta tendresse
Et j'au cru à tes promesses
J'ai succombée à l'ivresse
Mais il n'est plus temps des remords
Voici la Mort...
Je tombe
Je resterais allongée dans le noir
Essayant de comprendre d'où me viens ce déséspoir
Cette envie oppressante d'en finir
Ce besoin incessant de me détruir
Je regarderais s'écouler mon sang
Lentement, comme si la Mort prenais son temps
Ailleur ne peut être pire
Alors enfin je vais partir !
Prisonniére de mon silence, de votre incompréhension
J'ai trop longtemps hérrée dans ce monde
Je te jure j'ai essayé, je te demende pardon
Mais à chaque fois que tu me reléve, je tombe...
princesseperdue- Ange
- Nombre de messages : 96
Localisation : entre l'enfer et le paradis
Loisirs : l'écriture, la musique(rock), et les chevaux !
Date d'inscription : 24/12/2004
Re: poémes écrits un soir de déprime
Je vois que tu trouves l'inspiration lorsque tu es déprimée, tu es comme moi !
J'espère que tu as de moins en moins de soir de déprime ?
J'espère que tu as de moins en moins de soir de déprime ?
romanticor- Zeus
- Nombre de messages : 619
Localisation : Mont Olympe
Date d'inscription : 07/08/2004
Re: poémes écrits un soir de déprime
déprime, nostalgie, mélancolie, tout se mêle mais je trouve que ce sont des émotions vitale, tout du moin pour moi
princesseperdue- Ange
- Nombre de messages : 96
Localisation : entre l'enfer et le paradis
Loisirs : l'écriture, la musique(rock), et les chevaux !
Date d'inscription : 24/12/2004
Re: poémes écrits un soir de déprime
Oui, elles sont utiles pour apprécier les vrais moment de bonheur et pour l'inspiration !!
romanticor- Zeus
- Nombre de messages : 619
Localisation : Mont Olympe
Date d'inscription : 07/08/2004
Re: poémes écrits un soir de déprime
Très beau poèmes, tristes, sombres, j'aime bien, mais
bon faut pas être déprimé tout le temps!
bon faut pas être déprimé tout le temps!
Esra90- farfadet
- Nombre de messages : 34
Localisation : l'endroit où je me trouve...
Loisirs : danse orientale et kung fu
Date d'inscription : 05/09/2004
Re: poémes écrits un soir de déprime
c'est vrai que le noir et la déprime sont le propre de mon caractére, mais ça ne m'empêche pas d'aimer la vie!
bizoos
bizoos
princesseperdue- Ange
- Nombre de messages : 96
Localisation : entre l'enfer et le paradis
Loisirs : l'écriture, la musique(rock), et les chevaux !
Date d'inscription : 24/12/2004
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